Essayer d’avoir une peau radieuse n’est pas vraiment difficile. D’ailleurs, la plupart d’entre vous connaissent déjà les choses fondamentales à faire tous les jours pour maintenir une bonne peau, c’est-à-dire nettoyer, tonifier et hydrater. Cependant, ces rituels quotidiens ne seront pas efficaces si vous utilisez les mauvais produits sur le mauvais type de peau. Voici donc quelques conseils pratiques pour vous aider à mieux soigner votre visage au quotidien.

Identifiez d’abord votre type de peau

Il est important de connaître son type de peau afin de prendre soin de son visage efficacement et ainsi, de bien discerner les produits à utiliser. De ce fait, vous pourrez éviter d’agresser inutilement la peau de votre visage. Voici donc un test que vous pouvez effectuer vous-même chez vous à partir de votre production de sébum. Le sébum est un liquide huileux et cireux qui vient de vos pores. La quantité de sébum produite par votre peau peut déterminer si votre peau est sèche, grasse, sensible, normale ou mixte. Lavez donc votre visage de bon matin et n’appliquez aucun produit. Puis, attendez au moins jusqu’à la moitié de la journée. Enfin, observez. Si votre visage est brillant et semble huileux avec des pores dilatés, vous avez une peau grasse. Si seules les zones du front, du nez et du menton sont brillantes et le reste non, vous avez une peau mixte. Si vous constatez des plaques sèches ou des rougeurs sur votre peau et que vous sentez des démangeaisons, votre peau est donc sèche ou sensible.

Instaurez une routine journalière de soin du visage

Pour le nettoyage, le matin au réveil, rincez votre visage à l’eau tiède pour détacher la saleté et déboucher les pores. Ensuite, massez-le avec un produit nettoyant adapté à votre type de peau en faisant de petits mouvements circulaires et laissez reposer pendant quelques secondes. Enfin, nettoyez votre visage avec une serviette destinée à cet usage avant de l’éclabousser avec de l’eau froide. Faites cela deux fois par jour et une seule fois par jour seulement pour les peaux sèches. Concernant l’exfoliation, elle peut aussi rendre la peau plus lisse et une à deux fois par semaine suffit. Pour cela, choisissez un gommage physiologique qui purifiera votre peau tout en douceur. Si vous aimez vous maquiller, privilégiez le maquillage hypoallergénique qui est adapté à tous les types de peau et un démaquillant physiologique. Après cela, hydratez la peau de votre visage avec un masque hydratant, de préférence à base d’Aloe Vera. Enfin, pour en finir avec ce rituel journalier, n’oubliez pas d’appliquer une crème solaire, une quinzaine de minutes avant de sortir de chez vous ; Une exposition prolongée au soleil peut favoriser l’apparition des rides, des taches de vieillesse et d’autres problèmes de peau.

Adoptez un style de vie saine

Si vous fumez, faites-vous aider par un médecin ou un professionnel pour arrêter. Fumer rend plus pâle et contribue à l’apparition des rides. Privilégiez une alimentation saine et équilibrée. Buvez beaucoup d’eau, c’est-à-dire six à huit verres d’eau par jour, pour maintenir l’hydratation. Consommez beaucoup d’aliments riches en vitamine E comme l’avocat, riches en bêta-carotènes comme la patate, les carottes et les poissons gras comme la sardine, le hareng. Pour finir, dormez suffisamment, c’est-à-dire huit heures par jours et veillez à avoir un état d’esprit sain en faisant du sport.

En bref, il n’y a aucun produit miracle pour garder votre peau jeune et éclatante si vous ne prenez pas soin de vous aussi bien de l’intérieur qu’à l’extérieur.

Pour avoir une très bonne hygiène intime, on doit prendre de bonnes habitudes au quotidien. La partie génitale occupe un rôle essentiel, car elle protège tous les organes génitaux internes. Sa sensibilité et sa fragilité nous incitent à apporter un soin très approprié dans sa préservation. Pour cela, l’utilisation des produits d’hygiènes adaptés est vraiment importante. Dans cet article, on va parler du choix de savon pour la toilette intime, ensuite, on va parler de l’importance de l’hygiène intime, enfin je vais vous livrer quelques conseils pour faire sa toilette intime.

Le choix de savon pour la toilette intime

La partie intime est très sensible et nécessite un équilibre continu c’est pourquoi le bon choix du savon pour toilette intime est fondamental afin de bien préserver la flore vaginale. Il faut choisir un savon spécifique qui s’adapte à notre hygiène intime, mais surtout à notre état de santé pour lutter contre les infections et la déshydratation. L’idéal pour la toilette intime au quotidien est donc d’utiliser un gel lavant ou savon pour toilette intime sans paraben ni savon. On doit choisir aussi un savon qui a un pH d’indice moyen de 5 à 7 pour le maintien d’un équilibre très permanent dans notre partie intime interne. En cas de problème de type mycose, un savon pour toilette intime avec un pH élevé allant de 7 à 9 est requis.

L’importance de l’hygiène intime

L’hygiène et la propreté sont vraiment importantes pour notre bien-être. On doit alors prendre soin de notre partie intime pour être sur de nous et pour avoir une fraîcheur au quotidien. Avoir une bonne hygiène intime nous permet de garder la tête haute, peu importe notre condition physique. Pour cela, on doit vraiment penser à notre confort personnel et opter une très bonne habitude, car cela commence par une bonne douche au quotidien. On doit opter pour les produits qui sont adaptés à notre peau et conçus spécialement pour notre hygiène intime comme le savon pour toilette intime qui sert à éviter les mauvaises odeurs et à nous protéger de tous désagréments intimes.

Les conseils pour faire sa toilette intime

L’hygiène intime est essentielle pour notre confort au quotidien. Elle passe d’abord par une toilette intime tous les jours avec de l’eau claire. On peut utiliser un gel lavant intime à condition que sa formule s’adapte parfaitement à la sensibilité de votre peau, mais le mieux c’est un pain dermatologique. Quand vous utilisez du savon pour toilette intime, le mouvement doit être d’avant en arrière pour éviter que certaines bactéries se propagent dans votre vagin. Vous pouvez utiliser une serviette spéciale coton pour bien sécher la zone. Il faut surtout éviter le gant et évitez aussi de nettoyer l’intérieur du vagin pour se protéger des irritations, de la déshydratation et des infections.

Vous en avez assez de manger comme une ogresse ? Alors vous serez heureuse d’apprendre que, bien qu’il soit à bien des égards similaire à celui de votre grossesse, votre régime d’allaitement présente des règles beaucoup plus souples. Une chose est sûre, ce sont vos choix alimentaires qui vous aideront à optimiser la composition nutritionnelle de votre lait maternel, à augmenter la quantité de votre réserve ainsi qu’à améliorer la santé de votre enfant pour les années à venir. Découvrez donc dans ce guide ce qu’une femme allaitante doit et ne doit pas manger.

Quels aliments dois-je manger pendant l’allaitement ?

En tant que mère soucieuse de bien allier alimentation et allaitement, optez pour des choix sains qui vous permettront d’augmenter votre production de lait. Ainsi, optez pour des aliments riches en protéines, tels que la viande maigre, les œufs, les produits laitiers, les haricots, les lentilles et les fruits de mer à faible teneur en mercure. Choisissez également une variété de céréales complètes ainsi que des fruits et des légumes, ceux-ci devant d’ailleurs être bien lavés pour réduire toute exposition aux résidus de pesticides.

De même, manger une variété d’aliments différents pendant l’allaitement modifiera la saveur de votre lait maternel, ce qui exposera votre bébé à des goûts variés et l’aidera à accepter plus facilement les aliments solides par la suite.

Enfin, et pour s’assurer que vous et votre bébé recevez toutes les vitamines dont vous avez besoin, votre médecin peut vous suggérer de continuer à prendre des vitamines prénatales jusqu’au sevrage de votre petit.

Quels aliments et boissons dois-je limiter ou éviter pendant l’allaitement ?

Si vous voulez combiner alimentation et allaitement de manière irréprochable, n’oubliez pas qu’il y a des aliments à éviter ou dont la consommation est à limiter, ceux-ci étant :

– L’alcool : il n’y a pas de taux d’alcool dans le lait maternel qui soit dépourvu de tout risque pour le bébé. Si vous buvez, évitez d’allaiter jusqu’à ce que l’alcool ait complètement disparu de votre lait maternel. Sachez aussi que le pompage et le déversement n’accélèrent aucunement son élimination de votre corps.

– La caféine : évitez de boire plus de 2 à 3 tasses de boissons caféinées par jour, car la caféine contenue dans votre lait maternel risque d’agiter votre bébé ou de nuire à son sommeil.

– Les fruits de mer : ils peuvent être une excellente source de protéines et d’acides gras. Cependant, la plupart contiennent du mercure ou d’autres contaminants auxquels l’exposition excessive par le biais du lait maternel peut présenter un risque pour le système nerveux en développement du bébé. Évitez donc les fruits de mer à forte teneur en mercure, notamment l’espadon et le thazard.

Rester hydratée est primordial !

Il est important de rester bien hydraté pendant l’allaitement. Ainsi, et sans forcer sur les liquides, veillez à boire beaucoup d’eau chaque fois que vous avez soif. Vous pouvez également en boire davantage si votre urine est plus ou moins foncée.

Une autre bonne idée est de laisser une bouteille d’eau à côté de votre coin d’allaitement habituel pour vous rappeler de rester hydratée.

Méfiez-vous toutefois des jus et des boissons sucrées ! Trop de sucre peut contribuer à la prise de poids ou saboter vos efforts pour en perdre pendant la grossesse.

Pendant la saison hivernale, les marchés de fruits et légumes regorgent de produits de saison et en tant que consommateur soucieux de son alimentation en hiver, et dans le but de passer la saison sans encombre, on doit en tirer meilleur parti ! Pour ce faire, l’intégration de ces 3 types d’aliments d’hiver dans vos repas peut contribuer à renforcer considérablement les niveaux d’immunité de votre corps…

Remplacer les aliments sucrés par des légumes racines et des soupes

Parfois, les mois d’hiver peuvent nous amener à consommer des « aliments réconfortants » riches en sucre, qui peuvent être mauvais pour notre santé et notre niveau d’énergie. Cependant, il existe de nombreux aliments d’hiver qui sont nutritifs et réconfortants. Essayez les légumes-racines grillés qui sont délicieux et sucrés, ou les soupes garnies de légumes qui sont excellentes pour le déjeuner, surtout quand elles sont accompagnées par beaucoup d’ail ou de gingembre.

Les épinards

L’un des légumes à feuilles vertes les plus polyvalents, l’épinard est une spécialité hivernale qui est appréciée par les personnes de tous âges. Les épinards contiennent plus d’une douzaine de composés flavonoïdes antioxydants différents qui ont des propriétés anti-inflammatoires protégeant contre les maladies cardiaques et aidant à neutraliser les radicaux libres susceptibles de compromettre le système immunitaire.

Les plats à cuisiner

Flocons d’avoine

Le gruau est bien plus qu’une simple alimentation en hiver qui est associée au petit-déjeuner ; il fournit aussi des nutriments nécessaires. Le gruau d’avoine est riche en zinc et en fibres solubles. Bien que le gruau instantané soit plus pratique, il est un peu plus cher sur le marché. Pour manger sainement tout en respectant votre budget, optez pour l’avoine à l’ancienne.

Soupe de légumes

La soupe est la nourriture parfaite de l’hiver. Recherchez des recettes de soupe qui utilisent comme base du bouillon de poulet, du bouillon de légumes ou de l’eau et qui contiennent beaucoup de légumes. Associez votre soupe à des biscuits 100 % céréales complètes pour obtenir une dose de céréales.

Rouleau de thon épicé

Si vous êtes à la recherche d’une alternative originale aux aliments de confort typiques, souvent chargés de graisse et de sucre, essayez le sushi ! Choisissez des rouleaux garnis de thon ou de saumon. Ces deux aliments sont de bonnes sources de vitamine D. Pendant les mois d’hiver, lorsque vous avez une exposition limitée au soleil, les sources alimentaires de cette vitamine saine pour les os deviennent encore plus essentielles. Une carence en vitamine D est associée à un retard de croissance, à un affaiblissement des os, et même à un risque de maladie cardiaque.

Actuellement, le stress une maladie qui atteint presque tout le monde suite à de nombreux facteurs. Cette maladie à la fois psychologique et physiologique peut être déclenchée soit périodique et ou chronique chez un individu. Les raisons sont nombreuses d’augmenter le risque d’atteinte de stress. De ce fait, les traitements sont également proposés par des différentes méthodes comme les pilules, les méditations et les encadrements psychologiques. Pour solutionner sur le long terme, l’alimentation est un moyen assuré.

Manger des aliments riches en magnésium

Le stress a un impact mauvais sur la santé. Il existe en revanche un nutriment intéressant qui est le magnésium qui permet de maintenir l’équilibre nerveux. Il est proposé en prévention et en traitement de stress. Les carences de ces éléments nutritifs sont malheureusement assez fréquentes surtout chez les femmes. Il est expliqué par le fait que les aliments porteurs de magnésium sont rarement consommés. Parmi les aliments qui apportent des magnésiums, les noisettes et les chocolats noirs sont les plus consommés par bon nombre de personnes. Il faut par contre faire attention, car ces aliments pourraient provoquer une hausse de poids supplémentaire. Dans ce cas, pour satisfaire le manque de magnésium, il serait préférable de consommer des légumes secs tels que les haricots, les lentilles et d’intégrer régulièrement cinq portions des fruits par chaque repas.

Manger des aliments riches en tryptophanes

Les tryptophanes sont très connus de son rôle antidépresseur. Cet acide aminé stimule la sécrétion de sérotonine. À son tour, la sérotonine assume la fonction de garantir une bonne humeur qui est une aide très efficace pour lutter contre les anxiétés. Il existe plusieurs alimentations anti-stress qui comportent des tryptophanes. On pourrait trouver cet acide aminé dans les produits laitiers, les œufs, les viandes et les poissons. Les végétariens peuvent consommer des aliments porteurs de tryptophane dans les bananes et les protéines de soja. Les riz et les légumineuses sont également riches en tryptophane.

Ce qu’il faut faire attention

Les aliments antidépresseurs qui permettent de lutter contre le stress peuvent être trouvés dans beaucoup d’aliments. Il est par contre nécessaire de prendre garde aux habitudes alimentaires, car certains aliments anti-stress peuvent engendrer une hausse de poids surtout pour le stress chronique. 60 % des prises de poids en Europe sont dues aux comportements alimentaires des personnes lors d’un épisode de stress. Certes, cette habitude de consommation peut générer de plaisir pour lutter contre le stress comme les aliments sucrés, mais il est toujours prudent de penser à la santé.

Quand on parle de régime, tout le monde a tendance à penser à la perte de poids. Toutefois, il existe plusieurs sortes de régime selon les objectifs souhaités. On peut aussi faire du régime pour prendre du poids afin de gagner en masse musculaire par exemple. Découvrez ces différents types de régime dans cet article.

Régime pour perdre du poids

Le plus connu parmi les différents types de régime, c’est celui pour perdre du poids. Dans cet objectif, la première action à mener est de maîtriser l’estomac et l’habituer à un choix de nourriture limité. En général, on favorise les aliments à maigres valeurs énergétiques. Les nourritures riches en fibres sont également très recommandées (flocons d’avoine, haricots blancs, pois chiche, etc.), car elles sont moins caloriques. Les fruits et légumes sont aussi indispensables puisqu’ils sont riches en fibres, en eau et en antioxydant. Pour éviter la faim entre les repas, il faut favoriser les aliments riches en protéine (viandes maigres, œufs, produits laitiers, etc.).

Attention ! Faire du régime draconien, en se nourrissant tout simplement de fruits par exemple, n’est pas une solution efficace, contrairement à ce que l’on peut croire. En effet, cela provoque un vieillissement précoce, car l’organisme ne reçoit pas les nutriments nécessaires. L’idéal pour perdre du poids, c’est de suivre un rééquilibrage alimentaire.

Régime pour prendre du poids et/ou de la masse musculaire

Quand on est très mince, il est souvent difficile de prendre un peu de poids. C’est aussi un souci si on souhaite avoir plus de masse musculaire. Heureusement, il existe aussi des régimes adaptés pour les personnes confrontées à ce type de problème. Les aliments conseillés pour ces deux différents types de régime sont plus ou moins similaires. En effet, il faut favoriser les nourritures protéinées. Dans tous les cas, il est nécessaire d’être attentif sur les apports énergétiques. Le but est de consommer un menu équilibré à 2 000 calories en journée pour une femme et 2 500 pour un homme. Tout le long du régime, ces apports doivent augmenter graduellement. Il est bien évident que la prise de masse musculaire doit être accompagnée de plusieurs exercices correspondants à cet objectif.

Régime pour garder la ligne

Arrivé à un stade où l’on est satisfait de sa silhouette, on se pose maintenant la fameuse question : comment garder la ligne ? Là aussi, il ne faut pas se relâcher et toujours penser à rééquilibrer ses nourritures. Les aliments riches en fibre sont toujours conseillés, tout comme les produits riches en protéines. Les matières grasses sont également essentielles, mais il faut éviter celles qui contiennent du cholestérol et des acides gras. Sans oublier que les fruits et légumes sont très appréciés par l’organisme pour garder la ligne.

En France, la plupart des cas de diarrhée aiguë sont en fait des manifestations de gastro-entérite. Cette maladie est souvent de courte durée, mais très douloureuse et fatigante pour le corps. Le traitement contre la gastro-entérite a trois buts : la prévention de la contamination, la lutte contre la déshydratation et la réduction de la durée et de l’intensité de la diarrhée. Nous allons détailler ces trois actions dans cet article.

La prévention de la contamination

Une des premières préoccupations sur laquelle on doit se concentrer lorsqu’une personne a attrapé la gastro-entérite est la protection du malade et de son entourage. C’est une maladie de courte durée, mais cela ne veut pas dire qu’on ne doit pas chercher à réduire les maux. De plus, cette affection est très contagieuse. Il faut éviter à tout prix la réinfestation du malade (ce serait très fatigant pour lui) et la contamination de son entourage. Pour ce faire, il faut se laver les mains après chaque évacuation, surtout avant de préparer à manger. Évitez de vous toucher le nez ou la bouche. Les personnes occupant la même maison ne doivent pas se partager les objets de toilette. Prenez soin de désinfecter régulièrement le lavabo et les toilettes (surtout après chaque diarrhée et vomissement). Il faut que le malade évite de se rendre dans les lieux très fréquentés, pour le bien des autres.

Éviter la déshydratation et la perte de sel

Lorsqu’on souffre de la gastro-entérite, on perd beaucoup de liquides et de sodium. L’élimination de ces éléments peut avoir de graves conséquences, surtout pour les personnes âgées et les enfants. Il est primordial de prévenir et de corriger la déshydratation. Le poids perdu à cause des diarrhées doit être compensé par le volume de liquides à consommer. Pour les adultes, il faut boire au moins deux litres par jour. Privilégiez les boissons contenant du sel et du sucre. Il y a plusieurs solutions pour cela : tisanes, eau sucrée, bouillon de légume, eau minérale. Le Coca-Cola contient aussi beaucoup de sucre et peut calmer la soif (il ne contient pas de sel).

Réduire la durée et l’intensité de la diarrhée

Pour réduire la durée et l’intensité des diarrhées, l’alimentation doit être adaptée. Il existe aussi certains médicaments qui possèdent ces propriétés. Cependant, demandez toujours l’avis de votre médecin. Certaines médications contribuent à soulager les symptômes. Il s’agit des ralentisseurs du transit intestinal. Ils réduisent la fréquence des selles en diminuant les contractions intestinales. Les protecteurs intestinaux, quant à eux, ont un pouvoir couvrant et diminuent les gaz.

La fièvre n’est pas une maladie en soi. C’est une réaction de l’organisme pour lutter contre une infection. Qui d’entre nous n’a pas encore vécu le dilemme de faire ou non une consultation médicale pour une fièvre. D’un côté, on a peur de s’y rendre pour rien et que quelques médicaments auraient suffi et d’un autre côté, on craint qu’une maladie grave ait pu l’avoir déclenchée. Voici quelques conseils pour vous aider à trancher dans ce genre de situation.

Bien prendre la température pour mesurer la gravité de la fièvre

L’indicateur le plus simple et pourtant le plus utile pour détecter une fièvre est la prise de la température. C’est de cette manière qu’on peut premièrement juger sa gravité et donc décider s’il est nécessaire ou non d’aller chez le médecin. Comment bien s’y prendre ? Le meilleur moyen pour cela est d’utiliser un thermomètre électronique par voie rectale ou vaginale. C’est la méthode qui donne le résultat le plus précis. En effet, prendre le thermomètre par la bouche demande plus de temps (ce qui serait un problème de plus si la maladie est grave). De plus, la température montrée par l’appareil devra être corrigée. La bouche étant moins chaude que le corps, il y a une marge d’erreur de 0°5C. Le thermomètre à infrarouge est aussi très précis et rapide. Seulement, il exige une bonne technique pour bien atteindre le tympan. Quant aux bandelettes qu’on pose sur le front, elles ne doivent être utilisées que dans des circonstances bien précises.

Fièvre chez l’enfant : quand faut-il consulter le médecin ?

Dans n’importe quelle situation, il y a une règle d’or que tout parent doit respecter : lorsque vous ne savez pas quoi faire quand votre enfant se sent malade, il ne faut pas hésiter à téléphoner à un médecin. La santé de votre enfant est délicate. Consultez tout de suite un docteur dès que la fièvre atteint les 38°C/100,4°F. Des précautions plus strictes doivent être prises si l’enfant a eu des antécédents de convulsions. Pour ce cas précis, dès que la température monte, ne vous souciez pas de combien de degrés elle a monté, allez immédiatement voir votre médecin.

Et l’adulte, quand faut-il aller chez le médecin ?

La fièvre chez un adulte est une élévation de la température corporelle à partir de 38°C. Pour les adultes, il faut consulter le médecin lorsque que la fièvre devient « aiguë ». Même si elle n’atteint pas les 38°C, vous devez tout de suite voir un docteur à l’apparition des symptômes suivantes : mal de tête aiguë, nuque raide, mal de gorge, vomissements répétés, diarrhée, douleurs urinaires. En fait, le mieux, c’est de toujours demander l’avis du médecin.

La migraine se retrouve sous forme de mal de tête (souvent aigu). La majorité des personnes atteintes de ce mal sont souvent des femmes. Elle engendre souvent l’arrêt des activités à cause de la douleur ou peut provoquer des crises de nerfs. Par contre, elle reste sans danger pour la santé, mais la douleur altère le mode de vie d’une personne. Il existe divers médicaments contre la migraine et aussi des traitements naturels et des techniques assez simples pour la soulager.

Les techniques pour soulager une migraine

Il faut savoir qu’il existe des techniques assez simples pour soulager cette maladie. Avant de consommer un quelconque médicament contre la migraine, le mieux c’est de réaliser quelques gestes ou réflexes dès qu’une migraine arrive. La première chose à faire c’est de boire de l’eau puis de s’allonger dans une pièce sombre et calme et d’appliquer du linge froid ou un pack réfrigérant sur le front. Cette technique a pour but d’hydrater le corps. Il faudra ensuite respirer de la menthe fraîche ou mettre sur les temps du baume à base de menthol. Cela soulagera grandement la migraine. Dans le cas contraire, il faudra alors utiliser des médicaments à cet effet.

Les médicaments contre une migraine

Les médicaments contre la migraine sont nombreux. Certains peuvent s’acheter sans ordonnance et d’autres non. Pour le premier cas, il est possible de soulager le mal de tête grâce à du paracétamol ou de l’ibuprofène par exemple. Attention par contre à les utiliser exagérément. Il faudra se limiter aux doses maximales quotidiennes et demander les conseils du pharmacien. Évitez également de mélanger des compositions différentes (sauf si le médecin l’autorise). Pour ce qui est des traitements sur ordonnance, il existe des anti-inflammatoires non spécifiques ou des antalgiques très efficaces qu’il faudra prendre dès que les crises apparaissent. Si ces derniers provoquent des nausées, il est possible d’utiliser des médicaments anti-vomitifs.

Les traitements naturels contre la migraine

Mis à part les médicaments contre la migraine, cette maladie peut également se traiter à l’aide de plante médicinale. Pour cela, il y a les plantes sédatives telles que le mélilot, la passiflore ou encore la mélisse. Ces plantes atténueront le mal de tête. Pour soigner les inflammations, la grande camomille ou la reine-des-prés se trouvent très efficaces. Il existe aussi des huiles essentielles qui peuvent soigner la migraine, mais avant de les utiliser, il est très important de vérifier les diverses intolérances ou allergies du patient. L’aromathérapie est également à proscrire chez une femme enceinte.

Les maux de dos touchent une grande partie de la population et peuvent même handicaper certaines personnes. Mais quelles sont les solutions pour venir à bout de ces douleurs insupportables ? Que faire si l’on souhaite se passer des médicaments ?

Prendre des compléments alimentaires anti-mal de dos

Savez-vous que certains complémentaires alimentaires peuvent vous aider à résoudre votre problème de dos ? En effet, une carence en vitamine D, en magnésium, en silicium ou en chondroïtine peut entraîner des douleurs dorsales plus ou moins intenses. Vous pouvez donc consulter votre médecin afin de réaliser un bilan complet sur votre état de santé. Si la carence est confirmée, il vous prescrira un produit adapté à votre cas. Vous avez le choix entre des produits buvables, des gélules, des compléments alimentaires en poudre et des comprimés. On retrouve également des formes en gel à appliquer directement sur la zone douloureuse. Toutefois, pour garantir l’efficacité de ces produits, respectez les doses et la durée du traitement. Si vous souhaitez vous procurer des produits issus de la parapharmacie à des prix abordables, medi-market.be.

Opter pour les médecines douces

Certaines médecines alternatives permettent de prévenir et de soulager les maux de dos. L’homéopathie par exemple, est l’un des moyens les plus prisés pour calmer les douleurs. Cependant, il convient de consulter un médecin homéopathe afin d’établir un diagnostic personnalisé. La phytothérapie est aussi efficace pour apaiser les douleurs. On utilise principalement des plantes anti-inflammatoires telles que La Reine des Prés, l’Harpagophytum ou le Cassis. En traitement de fond, le bambou, le lithotame et l’ortie sont les plus utilisés. Dans le domaine de l’aromathérapie, les huiles essentielles sont très appréciées pour leur action anti-inflammatoire.

Pratiquer du sport et des exercices d’étirement

Lorsque vous souffrez d’un mal de dos, pas question de rester au lit, car cela peut accentuer la douleur. Au contraire, il faut bouger. Néanmoins, évitez de pratiquer des sports intenses qui peuvent provoquer des lésions et aggraver votre cas. Certaines activités physiques sont recommandées par les professionnels de la santé. Nager par le dos par exemple ne vous fera que du bien. Vous pouvez aussi faire de la marche, du vélo et du yoga. Ces activités visent à renforcer les muscles du dos.

Pour un effet sur le long terme, exercez une activité régulièrement. Par ailleurs, les exercices d’assouplissement et d’étirement permettent de détendre le dos. Vous pouvez accéder à de nombreux tutoriels sur Internet. Cependant, par mesure de sécurité, mieux vaut demander conseil à un kinésithérapeute. Il saura vous enseigner sur les meilleures positions à adopter et sur les exercices à réaliser.

Plan du site